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Cédric Payen, passionné de pêche depuis l'enfance, a débuté sa carrière dans la cuisine avant de se lancer dans la pêche

Cédric Payen, pêcheur à Saint-Raphaël

Cela fait un an que l’on travaille avec Cédric, cet amoureux de la ligne. Il a tout de suite été intéressé par nous, car nous valorisons bien à l’échelle nationale les produits de la mer. Financièrement avantageux, travailler avec Poiscaille lui permet surtout de diversifier ses pêches et de s’intéresser à d’autres espèces.

La pêche dans la peau

Cédric commence la pêche à Tahiti, son île, à l’âge de 5-6 ans, avec son père. Il en devient amoureux, et travaille quasiment toute sa vie dans cet univers, mais pas tout de suite en tant que pêcheur professionnel. Il a d’abord travaillé les produits de la mer dans son métier de cuisinier, avant de devenir guide de pêche, puis vendeur de matériel de pêche pendant de nombreuses années. Il finit par tout quitter pour se lancer dans la pêche professionnelle. Il avait toujours pensé à en faire son métier, car la pêche le passionne depuis toujours : aussi bien la pêche à Tahiti avec ses poissons tropicaux, que dans la Méditerranée avec ses poissons emblématiques. En France, il commence la pêche avec un petit bateau de 6,4 mètres. Mais depuis juin, il pêche avec son bateau tout neuf et très bien équipé, le Moana Tetukau II, nommé d’après le prénom de son fils et de son grand-père tahitien. Ce bateau de 8 mètres de long et 3,25 mètres de large lui permet de pêcher à la canne et à la palangre même par temps houleux.

À fond la ligne

Cédric fait des longues sorties, de 12 à 15 heures, quotidiennement, si la météo le lui permet. En moyenne, il prend 1 weekend toutes les 3 semaines : une sacrée cadence ! Ce qu’il aime avant tout, c’est traquer le poisson. Et quel régal, lors de notre embarquement avec lui, de le voir s’amuser à traquer ces bancs. Ce mordu de pêche depuis toujours à la canne, aux leurres et appâts naturels, et depuis plus récemment à la palangre. Et à la pêche à la canne, Cédric en connaît un rayon. Avec toutes ses connaissances, ses techniques et ses astuces, il nous a impressionnés sur son bateau. De mai à août, il cible le pagre et la dorade rose. Ensuite, il se concentre sur le pageot et la daurade royale, jusqu’en novembre. Le reste du temps, c’est le denti et la sériole qu’il pêche. Et quelles sérioles ! Nous avons eu la chance d’en pêcher une avec lui de 25 kilos !

Un pêcheur comme on adore

Cédric nous a marqués par sa mentalité qui colle parfaitement avec la mentalité Poiscaille, et par son grand cœur. Réellement soucieux de l’état des stocks de poissons, de ne pas trop en prélever, et d’assurer un renouvellement des stocks à long terme, il pêche toujours différentes espèces, sans jamais chercher à faire du volume, mais plutôt de la qualité qu’il valorise bien. Et c’est là que Poiscaille intervient. Car en plus de sa vente directe, Poiscaille permet de bien valoriser ses produits et de les faire connaître à un maximum de personnes. Il est d’ailleurs très heureux de travailler avec nous : il a plus de temps pour lui car moins de logistique de vente, il peut cibler de nouvelles espèces et essayer de nouvelles techniques de pêche, ce qui lui permet de s’amuser bien plus, et de moins épuiser les stocks de poisson. Une belle histoire qui dure depuis un an et qui n’est pas prête de s’arrêter !

🐟 Espèces retrouvées le plus souvent chez Poiscaille : sérioles, denti, dorades grises

🎣 Techniques de pêche : Palangre, canne

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Poiscaille soutient la petite pêche française

Pas de chalut, pas de drague. Préservation des fonds marins avec des techniques de pêche douces.

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Préservation des fonds marins avec des techniques de pêche douceset sélectives.

Pêcheurs mieux rémunérés. Trente pourcent au dessus des prix du reste de la filière.

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30% au dessus des prix du reste de la filière. Gagner plus tout en réduisant l’effort de pêche, c’est possible.

Navires de moins de 12 mètres. Petite pêche côtière uniquement, le moins d’impact sur les écosystèmes.

Navires de moins de 12 mètres

Petite pêche côtière uniquement, le type de pêche qui a le moins d’impact sur les écosystèmes selon des critères objectifs.