Hier soir, Elise Lucet sortait un reportage marquant sur la pêche industielle du thon et ses travers dans Cash Investigation.
On était bien contents de découvrir Anne-Marie Vergez et Frédéric Reste, deux pêcheurs Poiscaille, dans les solutions alternatives et durables.
La semaine précédente, Ifremer publiait son rapport sur l'état des stocks, on y apprend que presque 30% des poissons sont issus de la surpêche en France.
En décembre, c'était l'UFC Que Choisir qui concluait, dans une grande enquête en supermarché, que 86% des poissons vendus en grande surface seraient issus d'une pêche non durable.
Ca commence à faire beaucoup non ? Mais sachez qu'il existe des solutions !
Chez Poiscaille c'est 100% durable
Pas de blabla, des critères objectifs
🐟 Que des techniques de pêche douces
Ligne, casier, plongée, filet droit, pêche à pied uniquement !
On exclut les chaluts ou les dragues qui rejettent beaucoup de poissons et risquent d'abîmer les fonds. En plus c'est très consommateur de carburant.
🐟 Des navires de petite taille
12 mètres c'est notre limite.
Au delà on considère qu'on sort de la "petite pêche". Les navires ne sortent qu'à la journée pour garantir un temps en mer limité. Pas possible de pêcher 24h/24, les navires de moins de 12 mètres doivent rentrer au port tous les soirs.
🐟 Trois marins à bord maximum
Pour garantir une pêche à petite échelle.
Il est tout à fait possible de monter à 5 marins sur un navire de 12 mètres et faire des pêches massives, 7 jours sur 7.
🐟 Des pêcheurs mieux payés
Gagner plus pour pêcher moins, c'est notre pari. Et ça fait déjà effet !
Plusieurs pêcheurs préfèrent rester à terre les jours où Poiscaille ne peut acheter leur pêche (transport, Casiers déjà remplis par d'autres pêcheurs). C'est autant de jours de repos pour les océans et les humains !
Pourquoi peuvent-ils se le permettre ?
Car Poiscaille leur garantit un bon prix, toute l'année.
Je soutiens la pêche durable, je m'inscris chez Poiscaille
En vous inscrivant chez Poiscaille vous soutenez cette pêche objectivement durable !
C'est même Ondine Morin, pêcheur à l'île de Ouessant qui le dit à la tribune du CESE en octobre dernier
Et on a besoin de vous pour continuer à soutenir encore plus de pêcheurs.
Ils sont déjà 60 à remplir les Casiers de la Mer, encore plusieurs milliers à répondre à nos critères.